Sordide- Les «tournantes» seraient en passe de devenir un « amusement » à la mode parmi les très jeunes adolescents. Au cœur de ces «gang bang», trois profils différents de filles se dégagent.
Pour celles comme moi qui ont l’ignorance facile, du genre : les bébés naissent dans les cigognes, je vais vous raconter un truc sympa.
Un gang bang ! Vous ne savez pas ce que c’est ? Si je vous dis un « viol collectif » ? Cela vous éclaire ? Alors un gang bang est un viol collectif avec une fille consentante.
Oui, vous avez bien lu, elle veut. Elle meurt d’envie de sentir toutes ces protubérances les unes après les autres au creux de son corps, et d’être regardée pendant que ces gentlemen se secouent vigoureusement l’un après l’autre.
Non, pas toutes, c’est vrai… Disons que parmi les adeptes du gang bang je vois trois grandes catégories de femmes :
Les professionnelles qui le font pour le fric. Franchement, aller chez le dentiste ou se taper dix mecs de suite, la différence est minime, sauf que chez le dentiste tu as mal et tu payes, alors que là, tu as mal quand même mais tu touches le pactole.
La deuxième catégorie est celle qui le fait par plaisir. Si si j’ai bien dit par plaisir. Celle qui aime. Le fric ne compte pas. Ce qu’elle aime c’est se sentir dévalorisée, voir son estime d’elle-même écrasée dans un mélange de corps anonymes, sentir comme papa avait raison de dire qu’elle finirait comme une traînée. A l’autre bout du manche, si vous me permettez l’expression, il y a celle qui se sent forte, forte de « niquer » tous ces gars, forte de sa « puissance femelle ». La reine abeille fécondée par des dizaines de gros bourdons. Eh oui, tous les goûts sont dans la nature.
Disons que j’imagine assez mal votre tête de voir votre fille arriver un dimanche matin en se tenant au mur et vous raconter combien c’était super l’équipe de traders de la banque du coin et que même un jeune con est revenu deux fois ! Pour dire qu’elle y a pris du temps, car comme chacun sait, le temps passe vite quand on s’amuse…
La troisième catégorie est celle d’Eve perdue. Celle de la nana qui soit a trop bu, soit a voulu faire plaisir à son mec dans un club échangiste, soit simplement s’est fait attraper dans une ruelle, un sous-sol, une cave ou un parking, voire un appartement fleurant bon le bourgeois. Elle s’est retrouvée là sans trop savoir, et elle réalise que celui qui la trinque maintenant n’a pas la même haleine que quelques minutes auparavant, et que celui qui lui tient les mains ne peut pas en même temps lui tenir les jambes. Dans cette hypothèse-ci il y a trois issues. Soit la fille a un courage immense et le lendemain elle va aller expliquer aux flics ce qui lui est arrivé, soit sa honte est telle qu’elle va se taire et jouer la carte, bientôt inconsciente, du déni absolu. La dernière option étant celle du rire, de faire la crâneuse du genre « même pas mal « , ou encore plus fort « quand est-ce qu’on remet ça ? « .
Et dans ce cas-ci, elle n’en parlera pas à sa mère. Elle n’en parlera pas non plus à son père, surtout s’il y avait des mecs de son âge à cette soirée.
Il y a donc en tout cas trois cas de figure différents pour la femme. Qu’en est-il pour les hommes ? Eux ? Ils sont unanimes, ils adorent, sinon ils ne seraient pas là. Cela semble logique. Le postulat est que si la fille est devant eux, c’est qu’elle le veut bien ! Pour eux, payer c’est consommer, la conscience n’a rien à voir dans les histoires de cul.
C’est quand même curieux comme l’humain peut voir les choses sous un autre angle selon son sexe. Pour Noël j’aimerais que tous les hommes qui pratiquent ce genre de joyeusetés pensent à leurs filles et les imaginent dans cette posture.
Mais un homme dans un gang bang, pense-t-il encore ?
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